Déontologie de coach

La déontologie de coach affirme que le coaching n’est ni du conseil, ni de la formation, ni de la thérapie. C’est une co-construction qui aide la personne ou un groupe de personnes à parvenir à son objectif, dans un souci continu d’autonomie. Ainsi le protocole du coaching est un processus collaboratif. Son objectif est le développement du potentiel des individus et/ou des collectifs dans un espace sécurisé propice à l’expression.

Article I : Posture  

Coach membre de l’ACDU (Association des Coachs Diplômés Universitaires), nous exerçons notre activité avec authenticité et humilité dans le respect des valeurs de nos clients et de la confidentialité.

Globalement, nous préservons la sécurité de nos clients grâce au cadre de nos interventions : un contrat, une demande, un objectif et des indicateurs de réussite permettant de valider l’atteinte de l’objectif.

En effet, dans l’écoute et le partage, nous accueillons nos coachés avec bienveillance, non jugement, dans le respect du cadre validé ensemble. Nous respectons la demande du coaché et l’aidons à la reformuler.

D’ailleurs, conscient de notre position, nous ne permettons pas d’exercer tout abus d’influence. Nous restons dans le cadre défini par les engagements mutuels. L’action de coaching mène le bénéficiaire vers plus d’autonomie, sans créer de liens de dépendance.

Le coach professionnel est garant du processus et des moyens utilisés. Mais il ne peut garantir un résultat à l’issue du coaching. Seul le coaché est maître de son changement et de sa volonté d’y accéder.

Membres de l’ACDU, nous faisons preuve de professionnalisme. Ana Fernandez s’appuie sur son expérience professionnelle. Elle fait preuve d’éclectisme dans le choix des modèles et outils d’accompagnement utilisés.

Article II : Confidentialité et éthique

Professionnels en coaching, ils respectent le secret professionnel. Ils ne peuvent rendre compte de leur action ou du contenu des séances à un tiers (limites établies avec le coaché). En particulier, tout bilan éventuel demandé par le donneur d’ordre est préparé avec le coaché et réalisé en sa présence.

De surcroît, il est interdit d’exercer tout abus d’influence et en aucune circonstance. Nous ne mettons à profit la situation de coaching pour en tirer des avantages non contractuels.

Ses interventions servent les meilleurs intérêts du coaché et de son organisation. Ils veillent à agir avec un haut niveau d’intégrité et dans le respect du code déontologique.

Article III : Supervision du coach

Comme experts professionnels en coaching, nous nous soumettons individuellement à une supervision. Pour effectuer une prise de recul sur notre pratique de coaching. Pour explorer les différentes zones de notre travail.

C’est ainsi que cette supervision permet une remise en question sur des phénomènes de résonance et de reflet systémique. Pour améliorer et confronter nos pratiques de coaching avec celles du métier. Pour assurer une bonne posture éthique et déontologique.

Article IV : Travail de développement personnel

En tant qu’accompagnant, nous nous assurons à effectuer individuellement un travail sur nous-mêmes. Nous défaire d’éventuels schémas incompatibles avec la posture de coach. Travailler sur les phénomènes de transfert et contre-transfert. Nous assurer de notre propre développement personnel.

Article V : Développement des compétences

Ensuite, nous restons dans un processus individuel de formation. Nous développer professionnellement et personnellement. Enrichir nos pratiques de coaching. Acquérir des outils faisant preuve d’efficacité et réutilisables.

Article VI : Conditions dans lesquelles les règles de confidentialité pourraient être levées

En effet, dans l’article II de la déontologie de coach, nous nous engageons à ne pas communiquer les informations recueillies durant le coaching. Sauf en cas d’autorisation du coaché ou lorsque nous constatons un risque et une mise en danger sur la personne du coaché ou du coach.

Ainsi nous adaptons nos interventions en fonction des étapes du développement du coaché. Nous informons le coaché lorsque les thématiques mises en lumière dans le cadre de l’intervention sortent de notre champ de compétences.

Dans ce cas, nous orientons le coaché vers un professionnel plus adapté. Ana FERNANDEZ coach professionnel respecte scrupuleusement cette déontologie de coach.

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